Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (38)

Fabienne la professeur d’anglais est arrivée et commence à s’en prendre à tout le monde.
Lorsqu’elle se replie dans son mobil-home, je la suis, j’arrive à lui faire ouvrir la porte et rapidement je la ramène à de meilleurs sentiments.
J’ai réussi à ce que nous nous embrassions et j’arrive à lui faire jouer à des jeux pervers qu’il y a dix minutes, elle rejetait.
Elle monte jusqu'à moi, je lui demande de poser sa chatte sur ma bouche.
Elle se met à califourchon et ses lèvres intimes viennent se poser sur mes propres lèvres.
J’ai le temps de voir qu’elle n’est ni épilée, ni rasée.
Une grosse, touffe à l’ancienne, se présente à moi.
Se négliger la chatte fait-il partie du personnage qu’au fil du temps elle a décidé d’incarner.
Je la lèche profondément, jamais un clitoris aussi développé ne m’est apparu.
Une vraie petite bite.
J’arrive à le prendre seul dans mes lèvres, ce qui déclenche en elles des vagues de plaisir ininterrompu.
Je le mordille le roule sous ma langue, je le fais bander au point qu’un moment j’ai l’impression que si je le mettais dans ma chatte, je retrouverais les petites baises avec Pierre, mon ex qui en avait une légèrement mais si peu plus gros que le clito de Florence.
Prestement elle se retourne et plonge dans ma vulve. Je reprends sa chatte avec mes lèvres, elle en fait de même avec la mienne.
Ensemble, nous jouissons, certes, pour moi seulement un petit frisson, car il me faut faire attention qu’aucun imper vienne briser ce que je viens de réussir en l’amenant dans son lit dans son mobil-home avec un grand M comme elle disait avant.
Il me faut toujours garder l’avantage.
Je la fais venir à ma hauteur.

• Merci mon amour, tu vois qu’il est possible de vivre dans le plaisir sans pour cela vivre dans un lupanar.
• Excuse-moi mon cœur d’avoir dit que ta maison était un lupanar.
Veux-tu m’aider ?
• Je ferai tout pour cela.


Acceptes-tu de me décharger de la charge de mon collier pour le reste de la soirée ?
• Oui bien sur, mets-le-moi !

Je le détache et au moment de lui mettre, je lui demande.

• Tu es sûr, tu en connais la contrainte.
• Oui, je la connais.
• Tu acceptes donc que quand j’attacherai le mousqueton de la laisse à l’anneau doré, tu deviennes mon esclave ?
• Oui, je le sais et je le veux.

Je lui passe le collier et le fixe.
Dans le mouvement, je lui mets la laisse.

• Viens.
• Je suis nue !
Les autres vont être surpris.
• Évite ce genre de réflexion, une esclave se tait et exécute.
• Tu as raison, tu peux compter sur moi, pour retenir la leçon.

Arrivé dans le séjour, j’entends les amis s’amuser sur la terrasse.
Qu’elle est belle quand elle est nue.
Je lui commande.

• À genoux petite chienne.

Elle s’exécute.
En la traitant de petite chienne, le mot petite atténue la position que je lui demande de prendre, elle devient la petite qui va être aimé et non rejeté comme elle l’était avant.
C’est tenu en laisse et à quatre pattes que Fabienne fait son retour sur la terrasse.
Christian a un mouvement vers sa femme, Véronique et Marie-Ange une nouvelle fois l’en empêchent.
Véronique, parle à son oreille. Il se détend et attend la suite.
Je longe la table et amène mon amie jusqu’au transat.

• Tu vois ce transat, ce sera ta niche quand tu auras ta laisse lorsque tu seras une méchante fille.
Tu pourras en descendre qu’avec l’accord de ton mari, s’il est parti tu attendras son retour même si cela prend quelques jours.
Maintenant, monte sur le pied et agenouille-toi, les fesses en l’air.

J’ajoute.

• En levrette si tu connais.

Elle s’exécute.

• Christian vient près de nous.

Il s’approche.

• Déshabille-toi !

Il est vrai qu’il est seul sur la terrasse à être habillé.

Il s’exécute.

• Encule là.
• Jamais elle ne m’a autorisé, elle va m’arracher les yeux.
• Encule là, c’est mon esclave et mon esclave doit tous accepter, alors sodomise-la, elle va aimer.
• Fabienne, ton mari peut te sodomiser.
• Christian prend ce qui te revient et que je t’ai toujours refusé.

Tendu comme un âne sans que personne ne l’ait touché, il s’approche et se place doucement sur sa rondelle.

• Christian, une bonne sodomie se fait rapidement, enfonce-toi à fond.

Il donne un coup de reins, les sprinters cèdent, il est au fond.
Là je suis dur, moi qui dans ces moments apprécie la douceur et la préparation, mais je pense que pour éviter que la revêche vienne reprendre possession de son corps, il faut la brusquer au début.
La femme teigneuse qui est arrivé près de nous en début de soirée grace à ma persuasion et je dois dire ma roublardise lorsque je l’ai fait pleurer sur ma misérable vie nous promet des lendemains qui chantent.

• Surtout laboure là, lâche en elle tous ce que tu gardes en toi de frustration depuis des années qu’elle te bride et te refuse la joie de vivre.
• Fabienne es-tu d’accord ?
• Oui, tu le sais bien, j’ai compris ce que j’ai pu faire subir à chacun de ceux qui mon approcheeer depuisss deees annnnées…
• Tu vois Christian, tu viens de la faire jouir du cul, c’est très rare une première fois, cela prouve qu’intérieurement elle en rêvait.
Un, Fabienne, tu en rêvais.
Encore plus, j’en crevaisssss.
Tiens, prends la laisse, elle est pour toi, fais ce que tu veux de ta femme.

Je dois dire que je suis épuisée.
Nul ne peut dire que les autres me laissent indifférent et que j’hésite à donner de ma personne pour le plaisir de mes amis.
Pendant ce temps, Christian sort de l’anus de sa femme, approche de sa bouche qu’elle a certainement toujours refusé de lui donner et lâche de longs jets de foutre au fond de sa gorge qu’elle avale goulûment.

Gardant son avantage.

• Ma chérie acceptes-tu Alain dans ta petite chatte ?
• Cœur, tu vas voir comme je t’aime, tu pourras toujours te loin de moi, car je veux rattr tous les plaisirs que j’ai refusés et que je t’ai refusé.

Alain saisit les reins de notre amie, lui plante son dard jusqu’aux couilles.

• Anne vient manger la chatte de notre petite chienne et lécher les couilles de notre étalon.

Elle s’exécute. Je la vois qui s’applique à faire ce que je lui ai demandé.

• Adrien vient prendre la coquine par la bouche et fait lui avaler ta queue tout entière.
Si tu peux lui faire une gorge profonde, je suis sûr qu’elle appréciera.

La gorge profonde, je la vois devant moi, dans une vie antérieure où avant d’épouser Christian et devenir professeur et pour se protéger frustré, elle a dû être une grande cochonne qui dans sa jeunesse savait ce que baiser voulait dire.

Pendant ce temps nos deux amoureuses se donnent un baiser profond, la rousse et la noire sont toujours aussi bandantes lorsque je les vois.
Je sens qu’elles vont bientôt rejoindre l’étage.
La complicité qui lie nos deux amies laisse présager des lendemains qui chantent dans un avenir proche.
Je passe derrière elles, glisse ma main droite vers la chatte rousse qui reçoit mes doigts en écartant les cuisses et mon bras gauche vers la chatte noire qui reçoit mes doigts en écartant, elle aussi mes doigts.

• Tu vois petite Fabienne, ici c’est cela la maison du bonheur.
Bonne nuit.

De son côté Virginie a pris Odile sur ses genoux et elles admirent le tableau que forme la chienne prise par ses mâles et ma petite chérie.
Où sont Aline et Madeleine, elles ont dû monter se coucher ?
Si je montais les rejoindre, ça pourrait être intéressant.
Avant de monter, je veux être certaine que la soumission de ma nouvelle amie.
Je passe vers Fabienne.
Je demande à chacun de s’écarter.
Je la fais descendre et fais allonger Christian dans le transat.
Je donne l’ordre à notre esclave de venir s’empaler sur son mari face à lui.
Je demande à Alain de venir dans sa bouche à Adrien de venir dans son cul et à ma petite de reprendre sa place.
Je pars en détachant la laisse. Je suis sûr qu’il est inutile de continuer de la soumettre, elle devancera le plaisir de ceux qui ont pris place en elle et j’espère dans son cœur.

J’avale quatre à quatre les escaliers. Du bruit derrière la porte, il semble que personne ne dorme.
J’entre et m’approche de leur lit, mes deux coquines se broutent la chatte.
Un regain d’énergie me saisit et le spectacle de Fabienne à quatre pattes sur son transat acceptant de se faire prendre par son mari puis par Alain me rappelle que j’ai délaissé mes deux amies ici présentes depuis trop longtemps. Aussi lorsque je les fais venir chacune dans un de mes bras, mais qu’elle me quitte pour descendre à ma fourche pour qu’à mon tour je sois brouté, léché, pénétré par leur langue à tour de rôle puis que je sente les doigts de deux mains différentes entrées en moi jusqu’à m’amener à l’orgasme, je m’endors la femme la plus comblée au monde…







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